metiers des deleyrolle
Livre d'Or 
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 Modifié 16/05/08-18:30 Nouveau Commentaires (*)
Etat des recherches
La vie quotidienne aux Armas (1851-1941)
Mes ancêtres pendant la Guerre de 1914

Le clocher des Vans
Les métiers des DELEYROLLE depuis la fin du XVIIIè siècle(1662-2008)
Mes ancêtres à Paris
CABARETIER
Profession d'Antoine DELEYROLLE (Jean) (1782-1851)
Tenancier d'un cabaret (où l'on vendait le vin "à l'assiette", c'est-à-dire accompagné de nourriture).Les cabaretiers étaient très nombreux au XIXème siècle. On en dénombrait en moyenne un pour 50 habitants. activité existant déjà dans l'ancien nom et éloigné de nos cabarets actuels comme ceux faisant la joie - et le porte-monnaie - de touristes japonais ou d'ailleurs ;)
Pour l'anecdote, le terme cabaret vient de notre région picarde et signifiait une petite chambre.
Il faut lors distinguer deux activités qui pourraient nous sembler similaires à notre époque : le cabaretier et le tavernier.
Le cabaretier est l'ancêtre de nos restaurateurs sauf qu'à l'époque, il ne pouvait ni préparer la viande (privilège du rôtisseur), ni la cuire (domaine réservé du chaircuitier, faiseur de chair cuitre, ancêtre de nos charcutiers).Il pouvait servir du vin qu'accompagné d'un plat (à l'assiette).
Le tavernier était par contre à l'origine de nos futurs cafetiers et pouvait ne servir que du vin en pichet (à pot), en chopine (1/3 de litre, contenance de la chope) ou au canon (le verre).
Pour le tabac promu par Jean NICOT en 1560 (à l'origine du terme nicotine), c'était une activité qui s'est associé avec le café (à l'origine, le caoua turc *qahwa*) en des temps bien plus proche de nous, pour donner l'activité "café-tabac".
Les professions de la boissonAu XVIIème siècle, plusieurs appellations (limonadier, cabaretier, marchand de vin, crieur de café, colporteur de tisane) recouvrent la profession telle que nous la connaissons actuellement. Le limonadier vend des boissons chaudes ou froides, des alcools et des glaces.Le cabaretier désigne le tenancier d’un "cabaret à pot à pinte" (où l’on sert uniquement à boire), ou bien d’un "cabaret à pot et à assiette" (où l’on trouve nourriture et boisson), ou bien encore d’un cabaret tout court (où l’on peut également loger).Celui qu’on appelle le marchand de vin n’a pas le droit de servir dans sa boutique et ne vend que du vin à emporter, en gros ou au détail. Il lui est interdit d’exercer pendant les services religieux, les dimanches et les fêtes, et le soir après dix heures l’été et huit heures l’hiver.Le colporteur de café ou de tisane, un petit métier, est présent dans chaque ville sous l’Ancien Régime, malgré l’opposition des cafés-limonadiers. Le crieur de café se promène dans les rues avec une cafetière de dimension imposante. Pour deux sols, il remplit de café sans sucre les tasses qu’on lui tend, le lait faisant office d’accompagnement. Quant au colporteur de tisane, c’est à l’origine un détaillant d’eau-de-vie, puis un marchand d’eau de réglisse aromatisée et enfin un vendeur d’une solution jaune appelée "coco". Coiffé d’un casque ou d’un tricorne, il porte sur son dos une grande fontaine en fer blanc recouverte de velours rouge et parcourt les rues en agitant une sonnette. Il se sert de deux gobelets reliés par une chaînette à sa ceinture. Il fait bien sûr recette les jours de fête ou pendant la canicule.
Le café devient à la modeC’est en 1654, à Marseille, qu’on sert pour la première fois du café dans un établissement qui en prendra le nom. À Paris, le premier "café" s’ouvre en 1671 à Saint-Germain-des-Prés. Le breuvage, mis à la mode par l’ambassadeur turc reçu à la cour de Louis XIV en 1669, fait fureur... Le café d’alors provient essentiellement de Saint-Domingue, de la Martinique ou de la Guadeloupe. Les guerres républicaines et la perte des colonies font brutalement monter les prix sous la Révolution et, pour garder leur clientèle, les cafetiers mélangent alors le café avec des glands, des châtaignes, de l’orge ou du seigle. Un cabaretier de Saint-Germain fait fortune en utilisant pour la première fois des racines de chicorée. À côté des consommations traditionnelles (vins, tisanes, cafés...), sont créées de nouvelles boissons, notamment des liqueurs, aux ingrédients surprenants (alcool d’ananas, de céleri, de café, crème de girofle, de menthe...) et aux appellations invraisemblables (crème de macaroni, ratafia du Louvre, briolet d’Alsace, baume humain, eau stomacale de l’électeur...). La consommation de tabac est bientôt associée à celle du café.
Extrait du chapitre concerné, dans l’ouvrage Les métiers d’autrefois, de Marie-Odile Mergnac, Claire Lanaspre, Baptiste Bertrand et Max Déjean, Archives et Culture.

AUBERGISTE
Profession de Jean JOUANES (Paul Marcellin) (1842- ?)témoin du mariage d'Auguste DELEYROLLE (Victor) et Philomène FROMENT (Marie) (août 1871)(voir CABARETIER)


CHAUDRONNIER
Profession de Jean-Baptiste BOLZE (1827- ?) Témoin du mariage d'Auguste DELEYROLLE (Victor) et Philomène FROMENT (Marie) (août 1871)Témoin à la naissance de Paul DELEYROLLE (1874)
Au XIXè siècle, le chaudronnier fabrique, répare et vends des ustensiles ménagers.


EPICIER
Profession de Jean Joseph DUSSARGUES (1827-1906)Témoin du mariage d'Auguste DELEYROLLE (Victor) et Philomène FROMENT (Marie) (août 1871)
Commerçant qui vend des épices, sucre, miel, café mais aussi drogues et produits médicaux.

MENAGERE
Le terme de ménagère pour les femmes apparaît au 19e siècle. C'est celle qui s'occupe du ménage, c'est à dire du foyer familial. Les femmes s'occupant du ménage dans le sens actuel, sont plutôt indiquées domestique ou servante.
Le terme de ménager pour les hommes sous l'ancien régime désigne souvent un paysan aisé propriétaire


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