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Livre d'Or 
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Arbre généalogique DELEYROLLE (1843-1979)
Rechercher dans l'arbre généalogique
Jacques DELEYROLLE et Rose PELLET(couvre la période 1729 - 1821)
André DELEYROLLE et Claude AUDINET(couvre la période 1650 - >1691)


Signification des patronymes figurant dans l'arbre généalogique
Les métiers des DELEYROLLEdepuis la fin du XVIIIè siècle
Pierre DELEYROLLE et Marie MANIFACIER(couvre la période 1662 - 1723)
Détails des recherches en cours(Période: novembre 2006 à mars 2008)
Antoine (Jean) DELEYROLLE etMadeleine LACROIX (couvre la période 1782 - 1835)
Antoine DELEYROLLE et Marie DESCHANEL(couvre la période 1694 - 1749)
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La vie quotidienne aux Armas (1851-1941)
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Arbre généalogique DELEYROLLE (1874-2007)
Actes retrouvés depuis 2004
Histoire de la maison familiale aux Armas (Ardèche)En juin 2007, j'ai pu retracer l'histoire de la maison familiale des DELEYROLLE aux Armas. Les DELEYROLLE y était installés depuis 1851 . (Cliquez sur la pastille verte ci-contre pour voir le détail des recherches réalisées aux Archives Départementales de l'Ardèche).

Paul DELEYROLLE (1874-1929)(mon arrière grand-père)
Son registre militaire a été retrouvé aux AD de Nîmes (février 2008)Une photo de son régiment (le 120e RIT) retrouvée grâce au site http://chtimiste.com/Le compte rendu du jugement de son divorce en date du 16 janvier 1917 a été retrouvé aux Archives Départementales de Privas. Il nous apprend que sa femme, Laurence LAVIE, eut une "mauvaise conduite". Elle quitta le domicile conjugal afin de "suivre ses amants"... Elle fut condamnée à des dommages et intérêts. 84 francs à l'époque !...
Ferdinand DELEYROLLE (1888-1941)(mon arrière grand oncle)
Un dossier reçu en décembre 2007 émanant de la Croix Rouge Internationale nous dévoile le parcours de Ferdinand dès sa capture le 20 août 1914 par les troupes allemandes à Dieuze en Lorraine. Emmené au Réserve-Lazarett d'Ingolstadt, (hôpital militaire) il fut ensuite dirigé au Fort Prinz Karl, puis au camp de Nürnberg (Nuremberg) en Allemagne le 20 janvier 1917.Il n'est donc pas resté à Ingolstadt jusqu'à la fin de la guerre comme nous le pensions jusqu'à présent !
La Croix Rouge Internationale nous précise aussi que Ferdinand était un soldat de 2e classe, et faisait partie du 55e régiment d'Infanterie, 11è Compagnie, 15e Corps.
La croix Rouge Internationale nous communique aussi une adresse, le n°103-104 rue des Entrepreneurs à Paris et un nom, celui de P. GOURSAT. Il s'agit d'une personne, habitant cette adresse et qui prit des nouvelle de Ferdinand pendant sa captivité en Bavière entre 1914 et 1917.
L'historique du 55e RI a été retrouvé sur internet il y a quelques semaines.Même chose pour les photos de la caserne du 55e RI située à Pont-St.Esprit

Léon DELEYROLLE (Ferdinand) (1881-1941)(mon arrière grand oncle)
Des photos de la caserne du 7e Génie à Avignon ont été retrouvées.
Le Grand Bar Parisien à Nîmes où il fut garçon de café dans les années 1900 :Voici ce que me dit Georges Mathon, spécialiste de l'Histoire de la ville de Nîmes au sujet du "Grand Bar Parisien" où travailla Léon au début des années 1900:
"Le bar le Parisien était situé, jusqu'à une période relativement récente, au n°44 boulevard Victor Hugo, (cette adresse changera plusieurs fois de type de commerce, actuellement vacant le propriétaire est à la recherche d'un repreneur) bien que possédant plus de 1000 photos anciennes de Nîmes, Boulevards, Cafés, commerces, usines, monuments, manifestations... je n'ai pas de photos de cet établissement. Il existe qu'une seule de collection publique de photos anciennes, c'est celle du musée du Vieux Nîmes, mais elle ne comprend que très peu de photos d'établissements privés. Une exposition de photos anciennes a lieu actuellement dans ce musée et le vernissage a eu lieu ce vendredi 15 février. Je possède une reproduction de la plupart des documents de ce Musée, votre bar n'y figure pas".
Son registre militaire a été retrouvé le même jour que celui de son frère Emile aux Archives du Gard en avril 2008.


Albert CAGNON (1888-1915) (mon arrière grand-père)
Son registre militaire a été retrouvé aux Archives de Paris fin février 2008, ainsi que sa fiche de recensement militaire. Il fut en août 1914 affecté au "Service Auxiliaire", motif : "varices".L'historique du 103e RI m'a été envoyé par courrier en mai 2007 par Jacques de TRENTINIAN, petit fils du Commandant de la 7e DI en 1914. Le compte-rendu des opérations du 103e RI ( janvier à mai 1915) en Champagne à été retrouvé. Malheureusement nous n'avons retrouvé son nom sur aucune des tombes des monuments aux morts visités à Souain et Suippe....

Les salons de coiffure d'Albert CAGNON (Paris - 1909-1914)
On a pu, en octobre 2007, situer avec précision l'adresse d'un des salons d'Albert. L'un d'eux se trouvait au n°13 rue du Théâtre dans le XVe arr. ,soit à quelques mètres de la rue de Lourmel, lieu de naissance de sa fille, Odette (ma grand-mère).
Un autre salon de coiffure était situé au n°13 rue Olivier de Serres dans le XVe arr.
On retrouve sur les listes électorales Albert CAGNON, propriétaire d'un salon de coiffure situé rue de Lourmel en 1910 et 1911. (recherches effectuées début mars 2008 à Paris).


Emile DELEYROLLE (1878-1947) (mon arrière grand oncle)
On sait depuis le mois de juillet 2007 qu'il n'est pas le vrai père de Louise Augustine DELEYROLLE. Celle-ci fut reconnue par Emile et Marie TOUREL (peut on parler de parents adoptifs ?) en 1902 à Paris. Louise Augustine DELEYROLLE est donc née de père inconnu. Sa mère se nomme Marguerite TOUREL...(voir l'acte de reconnaisance ci-dessous).
On connaît les adresses des domiciles successifs d'Emile à Paris.On connaît aussi son métier: "garçon de magasin", dans une boutique où l'on fabriquait des voitures d'enfants (landeaux, charettes anglaises...) au n°56 bd de la Tour Maubourg près des Invalides. Il travaille dans cette boutique aux côtés de son cousin, Charles PASSERON.
Il fut nommé "Garde à pied" au sein de la légion de la Garde Républicaine (1903).
Son registre militaire a été retrouvé aux Archives du Gard en avril 2008.

Charles VASSAL / Mathilde DELEYROLLE (mon arrière grand oncle et arrière grand tante)
Le registre militaire de Charles VASSAL a été retrouvé aux AD de l'Hérault en février 2008
Son métier de cocher lui fit intégrer entre 1914 et 1919, les 14e, 15e et 18e Escadrons du train des Equipages. (service hippomobile ?)
Outre les nombreux régiments auxquels Charles fut intégrés, (122eRIT et 112e), on apprend qu'il bénéficia d'une pension d'invalidité liée à une hernie épigastrique. Charles souffrait d'une emphysème pulmonaire* provoqué par les gaz respirés pendant la guerre. L'emphysème pulmonaire est une ltération du poumon caractérisée par une distension anormale et permanente des espaces aériens situées au-delà de la bronchiole terminale, accompagnées d’une destruction de leur paroi et sans lésions de fibrose évidentes. Charles souffrait de bronchites chroniques.
*Pendant la guerre de 1914, le jeune chirurgien français P. Delbet se proposa de trouver une substance capable d’exalter la vitalité des cellules afin qu’elles puissent triompher des microbes... Il s’aperçut rapidement qu’un certain taux de solution de chlorure de magnésium augmentait considérablement le pouvoir phagocytaire des globules blancs. Cette substance soigne alors la diphtérie et la polimyélite - Guérit toutes les maladies respiratoires - Grippe - Enrouement - Coqueluche - Angine - Broncho-pneumonie - Bronchite chronique - Emphysème pulmonaire - Asthme - Abcès et furoncles...
Charles VASSAL a également été affecté pendant la Grande Guerre sur le front d'Orient du 13 mars 1918 au 12 mars 1919
Grâce à un document, au départ lié au parcours militaire de Ferdinand DELEYROLLE pendant la Grande Guerre, et communiqué par les Archives du CICR, nous avons appris que Mathilde et Charles vivaient, entre 1914 et 1917 chez un dénommé "M. le B. PERRIER", habitant à la "Villa du Bocage"située Traverse du cimetière" à Mazargues (Marseille). Après anquête au sein de la Bibliothèque de l'Alcazar de Marseille, il s'agit du Baron Emile PERRIER, écrivain marseillais et Directeur de l'Acédémie des Sciences, Lettres et Arts de Marseille et écrivain.Il employa sans doute aussi, avant guerre, Charles VASSAL, époux de Mathilde, en tant que voiturier et jardinier, mais surtout valet de chambre. Mathilde y était cuisinière. (voir le document concernant le recensement retrouvé aux Archives Municipales de Marseille). Au total c'était 10 personnes qui habitaient dans cette bastide dont: les trois enfants d'Emile PERRIER, son épouse, une tante et une femme de chambre dénommée Mlle Elda SUBRA !...
A suivre...
Où se trouve le berceau familial ?
Etat des recherches
Mes ancêtres pendant la Guerre de 1914

 
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